La France connaît le niveau de dépense publique en santé le plus élevé au monde, un PIB de 11,8% en 2009, la troisième après les États-Unis et le Pays bas. Cela est dû à la prise en charge de l’assurance maladie à une hauteur de 78%.
La réorganisation de la gestion de l’assurance maladie
Il s’agit de la réorganisation de la gestion de l’assurance maladie. La réforme de l’organisation des sécurités sociales connaît un déficit malgré le fait qu’une rénovation a déjà été effectuée en 1996. La loi du 13 août 2004 régler ce souci. La réforme de gestion vise une gestion plus efficace. Le système consiste à que les soins et l’assurance maladie soit garantie par l’État. L’assurance maladie a pu renforcer ses compétences, dans la politique hospitalière et de la politique du médicament, et des améliorations dans le service ambulanciers. Dans la délégation de gestion élargie, les principaux services de l’assurance maladie sont regroupés dans une association nommée l’union Nationale des caisses maladie ou UNICAM. Une autre autorité indépendante la haute autorité de santé est instaurée dans le but d’améliorer les qualités de soin, par la finition des références et la recommandation des professionnels de la santé dans l’évaluation des pratiques.
Il existe également une nouvelle organisation des soins dans le but de maîtriser les dépenses de santé. Il prévoit à toutes les personnes âgées de plus de 16 ans, bénéficiaire de l’assurance maladie ‘avoir un dossier médical personnel. Le document permet à tous les médecins de suivre le parcours médical, avec l’accord du patient. Ce système permet aux médecins traitants d’orienter le patient dans un parcours de soins plus efficaces, une facilité d’orientation vers un médecin ou un spécialiste. Le choix du médecin est pourtant libre chez le patient, il ne s’impose pas pour les consultations simples chez les pédiatres, les gynécologues, les ophtalmologues et les dentistes.
Plusieurs réformes ont été effectuées dans cette réforme, portant-bénéfice aux assurés et à la compagnie d’assurance.
Les recettes supplémentaires et le bouclage financier de la réforme
L’objectif de la réforme est de réaliser 15 milliards d’euros d’économie. La réforme s’articule en trois volets la rationalisation de l’offre de soins, la participation des usagers et des recettes prévus à 4,2 milliards d’euros. La recette repose sur la contribution sociale des généralistes: hausse de l’assiette fiscale pour les revenus d’activités et des allocations de chômage assujetties.
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